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 Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.

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Préfet-en-Chef
Lizzie Cooper

Place à
Lizzie Cooper
et sa baguette.







Parchemins : 13
Age : 30
Localisation : Aux portes des Enfers.
Emploi : Mangemort en mission.
Humeur : Massacrante.

Lumos
Situation: Célibataire
Origine: Sang-Pur
Camp:

Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.  _
MessageSujet: Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.    Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.  EmptyDim 21 Nov - 3:07

Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.  077&Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.  Pinkmartini_np1

C'est en soupirant que Lizzie rentra dans le Poudlard Express, après avoir déchargé ses valises dans la wagon définit pour les bagages. Une année de plus à Poudlard... Une année d'ennui, de cours, de missions secrètes ou de recrutes illicites dans l'enceinte même de l'établissement. Une fois de plus, Lizzie allait devoir recommencer ce qu'elle faisait depuis plusieurs années et cela la mettait dans une humeur et une attitude blasée au possible. La bonne nouvelle était que ce serait la dernière fois qu'elle ferait ce travail de débutant. Il était agaçant pour la mangemort de se retrouver dans une école d'adolescents pré-pubère, ne pensant qu'aux rumeurs du jour, qu'aux couples formés ou non, ou qu'à leurs petites histoires et vies sans intérêts. Peu d'entre eux restaient intéressants et l'infime partie de ce groupe étaient des personnes avec qui elle vivait continuellement durant toutes les vacances. Des mangemorts, bien sûr. Lizzie avait beau avoir des convictions, rester sept jours sur sept en compagnie de sa famille adoptive ne faisait pas partie de ses plans et certainement pas de ses intérêts. Elle détestait le fait qu'ils soient pratiquement tous inscrit à Poudlard. L'impression d'être toujours épié ou surveillé la collait à la peau à chaque fois qu'elle passait à côté d'un groupe de mangemort. Pourtant, elle savait très bien qu'elle n'avait rien à craindre d'eux, tous des novices, des débutants avides de faire des preuves mais stupides au possible. Seule Elana Wild restait dans la norme et semblait avoir les mêmes pensées qu'elle. Depuis toutes petites, les deux Serpentards avaient des points communs, au début toujours collées l'une à l'autre, elles finirent vite par se lasser et se séparer, surement à cause de l'éducation qu'elles ont aussi reçue. Les sentiments ? Choses à proscrire. Ainsi, à chaque fois qu'elle se voyait, un signe de tête suffisait largement à les combler, ou de temps à autre, une discussion, portée sur tout et sur rien, principalement sur des missions qu'elle avait en commun, c'est vrai. Cependant, et malgré le dégout qu'elle ressentait envers une quelconque amitié, Lizzie devait reconnaître qu'elle appréciait Elana. Non seulement pour ce qu'elle était, mais aussi pour la force et l'intelligence dont elle faisait preuve et qui les mettaient en perpétuelle rivalité.

Une légère secousse fit heurter une première année à Lizzie, ce qui la ramena directement à la réalité. La brune fusilla du regard la petite blondinette qui l'avait bousculé et celle-ci s'excusa en marmonnant avant de s'enfuir en courant. Au moins, le train avait démarré. A présent, il lui fallait une cabine vide, afin de pouvoir tranquillement organiser cette année. Structurer tout ce qu'elle faisait et tout ce qu'elle entreprenait permettait à la mangemort de réussir avec brillance ses missions et d'avoir ainsi certains privilèges auprès du maître. Avançant, son sac à main en cuir sur l'épaule où résidait un petit blouson en cuir noir, s'accordant parfaitement bien avec son sac. En passant devant une cabine, Lizzie aperçut Elana, Rabastan, Narcissa Black et une potiche sans grand intérêt. Durant un instant, elle les observa et hésita à les rejoindre. Puis, alors qu'elle allait leur tourner le dos, Elana se retourna et fit une reflexion à Rebastan qui semblait cinglante. Ses iris grisés se portèrent ensuite vers Lizzie, qui n'hésita pas à lui faire un léger signe de tête, amicale. Elana lui répondit, avec un léger sourire accroché aux lèvres et Lizzie continua son avancé à travers les wagons. Enfin, alors qu'elle arrivait à la dernière cabine, elle fut satisfaite de la voir vide. L'ouvrant sans délicatesse, elle balança son sac sur une des banquettes et s'assit face à son sac. La porte se referma automatiquement et claqua dans un bruit lourd. Lizzie soupira longuement et attrapa sa baguette. Avec celle-ci, elle pointa une partie vide de la banquette et murmura une phrase inaudible. Puis, la magie fait effet et apparut devant elle, la caisse de sa chatte, Émeraude. De la magie noire, bien sûr.. Lizzie n'avait pas perdue de temps cet été et avait littéralement dévorée toute la bibliothèque du manoir. S'agenouillant en face de sa chatte tigrée, elle ouvrit sa cage et lui autorisa quelques caresses, enfin, elle lui laissa la liberté de se déplacer dans la cabine et sans grande surprise, Émeraude se coucha sur les affaires éparpillés de Lizzie. Son odeur devait certainement l'attirer et la rassurer.

Une fois de plus, Lizzie soupira et se posa près de chatte. Dans quelques heures, elle serait au château et commencerait alors sa dernière année. Avec un léger sourire espiègle, Lizzie repensa à la surprise qu'elle avait eut en recevant une lettre de Poudlard en plein mois de juillet pour lui annoncer son nouveau statut de préfet-en-chef. Ce n'était pas une surprise, vu les studieux résultats de la brune, mais c'était amusant de savoir qu'un directeur d'école mettait au pouvoir une mangemort qui se faisait passer pour une élève. Beaucoup l'avait charrié par ce nouveau statut qui lui était accordé, surtout les élèves et, ou nouveaux mangemorts. Trop idiots ou novices pour comprendre les innombrables avantages qu'elle pouvait avoir maintenant. Plus de restriction, plus d'horaire imposée, plus de dortoirs, plus de Rusard, plus de compte rendu. Elle était libre de faire ce que bon lui voulait à présent, et ça... Quel plaisir. Appréciant ses pensées et se laissant aller dans des fantasmes quant à ses futures intentions, Lizzie reposa sa tête sur son avant-bras droit et s'endormit, sans même s'en rendre compte.


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6ème année
Regulus A. Black

Place à
Regulus A. Black
et sa baguette.







Parchemins : 7
Age : 29
Localisation : Dans les cachots.
Emploi : Libertin à plein temps.
Humeur : Ironique.

Lumos
Situation:
Origine:
Camp:

Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.  _
MessageSujet: Re: Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.    Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.  EmptyDim 21 Nov - 19:17


Silencieux et léger, Regulus longeait le train en allant vers les derniers compartiments, les plus tranquilles. Il faisait léviter près de lui une lourde valise a priori neuve, très élégante, et portait sur son dos un sac d'adolescent dont il n'avait passé qu'une bretelle, ce qui achevait de lui donner un air nonchalant et sur de lui. Avisant les nombreux regards qui le suivait, il esquissa un sourire amusé et grimpa alors dans le dernier wagon, agitant souplement sa baguette pour ordonner à sa valise de suivre. Il longea le couloir et trouva un compartiment vide. Satisfait, il rangea sa valise dans la galerie située au dessus des banquettes d'un simple mouvement du poignet et rangea ensuite sa baguette dans la poche de son pantalon de toile noire. Déposant son sac à dos sur la banquette, il s'installa le plus près possible de la fenêtre et entreprit d'observer les gens d'un air distrait. Cette année risquait d'être courte.

Soudain, on frappa à la porte de son compartiment. Il tourna vivement la tête et croisa le regard gris acier de son ami Lucius. Ce dernier lui adressa un vague sourire, assorti d'un geste de la main, avant de s'éloigner, immédiatement suivie d'une ribambelle de garçons et de filles plus ou moins âgés. Regulus esquissa un sourire et reporta son attention sur le quai de la gare, tout en pensant qu'au mois de juin, il devrait faire ses adieux à Lucius. Ce dernier étant en septième année, il terminerait ses études et quitterait Poudlard à la fin de l'année ... Avec qui discuterait-il, l'an prochain ? Le départ du grand blond l'affecterait, il en était certain. Mais il haussa les épaules et retourna à son observation distraite.

Enfin, le train se mit en branle. Un soupir de satisfaction s'échappa des lèvres de Regulus et il s'enfonça correctement dans la banquette, savourant le plaisir qui accompagnait les débuts de longs voyages. Il se tourna vers son sac et en sortit un livre sur l'esthétisme dans lequel il se plongea aussitôt. Au bout d'une heure et demi, un peu fatigué à cause des termes complexes qu'il venait d'assimiler, il se leva et s'étira, posant machinalement le bouquin près de son sac. Il jeta un sort sur le compartiment pour éviter que l'on y rentre en son absence et quitta les lieux pour s'enfoncer plus avant vers la fin du train. Il cherchait Lucius pour lui demander un avis sur une théorie expliquée dans le livre.

Mais alors qu'il ouvrait un compartiment à la porte opaque, il réveilla en sursaut une jeune fille brune. Surpris mais pas le moins du monde désolé, il l'observa un instant avant de la reconnaitre. Lizzie Cooper. Une élève de septième année. Il l'avait déjà vu plusieurs fois, mais il n'avait pas le souvenir de lui avoir déjà parlé. Ceci dit, avec le nombre de fille qu'il oubliait ...

Il resta planté là, silencieux et curieux.
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Lizzie Cooper

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MessageSujet: Re: Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.    Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.  EmptyLun 22 Nov - 0:47


Des étoiles... Des tonnes de petites étoiles regroupées dans une partie bien précise du ciel, semblant fuir quelque chose, quelque chose de dangereux, de morbide. En dessous d'elles, Lizzie était couchée dans l'herbe, regardant ce spectacle poignant, restant spectatrice des étoiles et de leur fuite acharnée mais qui restait pourtant inutile. Malgré leur peur tenace, aucunes d'entre elles n'arrivaient à bouger, elles ne faisaient que rester là et scintiller. C'est ce qu'elle savait faire de mieux. Briller encore et encore, jusqu'à s'éteindre pour toujours. En regardant les lointaines planètes briller de mille feux, Lizzie soupira et passa une main dans ses cheveux emmêlés. La nuit... C'est ce qu'elle préférait. Il faisait sombre, elle la protégeait des autres, la rendant invisible aux yeux de tous, la gardant bien au chaud dans ses bras que l'on pouvait aussi appelée ombre. Délicatement, elle la berçait, comme on bercerait un bambin. Lorsqu'il faisait nuit, Lizzie se sentait en sécurité, entourée par des forces obscures, elle se prenait presque pour la reine du monde, invisible et forte. Tout ce qu'elle désirait être apparaissait dans la nuit, lui donnant un très léger goût de plaisir infini dans la bouche. La nuit était son domaine, son territoire. Avec souplesse, Lizzie se redressa, commençant par être lassée de ce spectacle. Elle se mit donc à marcher avec délicatesse sur l'herbe grasse d'une nuit humide et pourtant légère. Les mains dans les poches, ses cheveux virevoltant au moindre coup de vent, Lizzie respirait le bonheur. L'impression de ne pas avoir un énorme poids sur les épaules la soulageait, l'impression d'être maître de sa vie, d'être libre de pouvoir faire des choix emplissait ses sens et gonflait ses poumons. Puis, brusquement, son cœur se mit à tambouriner plus fortement que d'habitude, comme si elle venait d'avoir une pensée de trop, comme si quelqu'un se mettait à la chasser et qu'elle était à la place des étoiles. Elle devait fuir mais en était incapable. Soudainement paralysée par la peur, une bouffée de panique l'envahit. Depuis quand avait-elle peur ? Depuis quand craignait-elle quelque chose d'autre que sa propre personne ? Puis, comme pour répondre à ses questions sans réponses, une silhouette vague apparut derrière elle et...

Lizzie se réveilla en sursaut. N'ayant pas un lourd sommeil et se réveillant pour la moindre goutte d'eau, elle ouvrit avec promptitude ses yeux verts bouteilles. Légèrement déboussolée un instant, elle reprit une certaine contenance et regarda autour d'elle ce qui aurait pu la réveiller. La surprise la prit de court lorsqu'elle aperçut un jeune homme devant elle, prostré comme un idiot à la regarder, sans rien dire. Au final, avoir été éduquée par des mangemorts n'a pas que des désavantages; dormir sur une oreille était une tactique qu'on apprenait très jeune, juste au cas où la mort voudrait nous surprendre pendant notre sommeil. La brune soupira lourdement et s'étira sans gêne. Puis, elle se leva et passa une main dans ses cheveux ébouriffés. Posant ses yeux en amandes sur le brun posé en face d'elle; Lizzie tenta de remettre un prénom sur son visage. Son prénom lui revint en mémoire en se souvenant qu'il était sur sa liste de nouvelle recrue : Regulus Black. Curieuse de savoir ce qu'il venait faire dans sa cabine, la mangemort haussa vaguement un sourcil et prit un air de dédain. Elle avait entendu dire que le Serpentard était un vrai bourreaux des cœurs et qu'il n'avait aucune pitié pour les femmes qui souhaitaient le revoir. Un fin sourire apparut sur le visage de Lizzie en ayant l'idée de lui briser le cœur. Certainement trop facile comme nouveau jeu. Laissant un vague sourire sardonique se percher sur ses lèvres pulpeuses, elle se rapprocha de Regulus.

- Tu voulais peut-être quelque chose, Regulus Black ? Ou tu es juste passé dans le coin pour me réveiller en sursaut afin que je m'intéresse à toi ?

L'arrogance était quelque chose que Lizzie avait du mal à gérer. Élevée dans une maison de tueurs redoutables, elle avait vite apprit que si elle voulait rester longtemps en vie et surtout si elle voulait prendre position, il faudrait qu'elle est du répondant, un certain manque de culot provocateur. Regardant droit dans les yeux Regulus, elle laissa doucement ses yeux émeraude plonger dans les iris noirâtres de son interlocuteur.
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Regulus A. Black

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MessageSujet: Re: Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.    Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.  EmptyMar 23 Nov - 20:06



La jeune femme sembla décontenancée un moment, mais elle se reprit vite et darda sur lui un regard quelque peu méprisant. Elle venait de se réveiller et ses traits gardaient cette aura particulière que confère le sommeil, mais elle était tout de même fort jolie. Une beauté chaude et vivante, mais pas particulièrement ... avenante. Il y avait quelque chose dans son maintient, dans son expression et plus encore dans son regard qui évoquait la ... la mort. Une lueur glacée. Regulus l'avait souvent vu dans les yeux des mangemorts, qu'il fréquentait régulièrement du fait de son nom et des prétendues affinités de sa famille avec toutes les autres branches de la noblesse noire. Ce qu'il pouvait détester ces soirées mondaines où chacun des membres jouaient un rôle fier et hautain censé prouver leurs aptitudes à pouvoir rejoindre les rangs du maître ...

- Tu voulais peut-être quelque chose, Regulus Black ? Ou tu es juste passé dans le coin pour me réveiller en sursaut afin que je m'intéresse à toi ?

Un sourire ironique était venu se poser sur les lèvres claires et froides de la jeune femme, sourire auquel Regulus ne prêta aucune attention. Il l'observait d'un air faussement perplexe, étudiant chacun des angles du visage de la belle brune comme pour en juger. Comme s'il dressait un portrait critique d'elle. Mais il haussa bien vite les épaules et répliqua d'un ton désinvolte, un rien trainant et qui manifestait à merveille son indifférence :

- Pourquoi donc voudrais-je que tu t'intéresse à moi ?

Ne lui laissant pas franchement le temps de répondre, il recula légèrement et reprit, d'un ton plus froid cette fois :

- Je cherchais simplement Lucius Malefoy. Je vais donc retourner à mes recherches. Nous nous recroiserons peut-être dans les couloirs de l'école ... ou dans notre salle commune.

Et sans laisser son regard s'attarder, il fit mine de reculer définitivement, refermant la porte du compartiment sans daigner s'excuser du dérangement provoqué. Regulus ne s'excusait jamais, il ne voyait pas de raison de faire d'exception.
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MessageSujet: Re: Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.    Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.  EmptyMer 24 Nov - 14:21


Absorbée dans la contemplation des prunelles noires de Regulus, Lizzie ne pu s'empêcher de frisonner avec intensité en voyant ses pupilles, inexpressive. Il n'était pas rare que la mangemort rencontre des personnes qui gardaient un visage impassible, froid, mais tous étaient des mangemorts, donc des tueurs sans scrupules. Ne pas montrer ce qu'ils pensaient ou ce qu'ils ressentaient faisait partis de leurs formations. Regulus, lui, n'avait jamais été formé par des tueurs. Bien sûr, il avait ses deux parents mais la brune connaissait assez bien Orion et Walburga pour dire qu'ils n'étaient pas du genre à donner une éducation exemplaire. Surtout depuis que Sirius avait plié bagages et s'était enfuit chez un de ces amis Gryffondor. L'histoire avait fait scandale chez les Black et lorsque Lizzie avait passé son été en compagnie d'Elana ou de Narcissa, les trois jeunes femmes avaient longuement entendu les récits de Walburga, qui semblait abattue par la trahison de son fils fétiche. Par conséquent, Lizzie en déduit que si Regulus avait ce manque d'expressions, de sentiments, c'était surement en relation avec sa famille. Ou peut-être était-ce dans son caractère ? Un flot d'hypothèse se mit à tourner dans l'esprit de la mangemort, se demandant ensuite quel genre de tueur ferait Regulus. Ne baissant pas son regard sur Regulus, elle revint petit à petit à elle en se rendant compte qu'il semblait la détailler, voire la juger. Haussant ses sourcils d'un air franchement peu appréciable, Lizzie le regarda en inclinant la tête. Puis, Regulus sembla avoir finit de la détailler avec précision et haussa les épaules.

- Pourquoi donc voudrais-je que tu t'intéresses à moi ?

Une vague de réponses extrêmement poussées et un tantinet arrogante se mit à flotter en boucle dans sa tête. Regulus avait une réputation de bourreaux des cœurs, d'un libertin sans scrupules qui aimait l'attention toute particulière que les femmes lui portaient. Il aurait donc été normale qu'il veuille que Lizzie Cooper s'intéresse à lui, on la qualifiait après tout, à Poudlard, de femme intouchable. Non seulement parce que personne n'avait réussit à l'approcher sans en baver, mais aussi parce que tous les garçons qui avaient essayés de l'approcher par des jeux de séduction s'était tous retrouvés à l'infirmerie. On lui avait donc fait de nombreuse fois la réflexion de contrôler ses pulsions meurtrières. Suivant à la lettre les conseils des professeurs, elle avait trouvé un échappatoire pour se défouler sans limite. Un endroit dans la forêt interdite qui lui permettait de transplaner en toute sécurité. Pour en revenir à Regulus, il y avait aussi le fait qu'il manquait d'une attention qui sautait aux yeux, particulièrement de la part de ses parents. En rencontrant Walburga, Lizzie avait vite comprit que seul Sirius avait compté dans sa vie, et que son deuxième fils n'avait été que le boulet de la famille malgré son comportement exemplaire de parfait petit Black. Au final, la conclusion que Regulus manquait d'attention sauta aux yeux de Lizzie. C'était surement une des raisons qui le pousser à avoir une vie de libertin. Ou alors, c'était surement pour suivre les traces de son frère. Qu'importe.

Lorsque Lizzie voulut répliquer, d'un ton désinvolte, lui montrant donc que son propre ton indiffèrent et "je-m'en-foutiste" lui importait peu. Mais il fut plus rapide et continua sa lancée, répondant par la même occasion à sa première question.

- Je cherchais simplement Lucius Malefoy. Je vais donc retourner à mes recherches. Nous nous recroiserons peut-être dans les couloirs de l'école ... ou dans notre salle commune.

Son ton fut plus froid que Lizzie ne s'y attendait. La surprise fut brillamment cachée par son visage lisse qui ne déforma pas ses traits. Elle ne tiqua pas tout de suite lorsque Regulus se recula et sortit de son compartiment sans demander son reste. Cela semblait bien trop facile. La brune n'avait absolument pas apprécié le fait qu'il l'est traitée comme une simple élève, une personne qui n'avait rien de plus que son physique. Un grognement inaudible sortit de sa gorge et elle s'avança vers la prote coulissante de sa cabine, la faisant à son tour claquer. Apercevant Regulus marcher dans l'étroit couloir du wagon, elle l'interpela. Se doutant qu'il devait y avoir pas mal de mondes dans les autres cabines, elle parla plus fort que la normale :

- Au fait Regulus, comment va ta mère ? S'est-elle remit de la fuite de ton traître de frère ? La dernière fois que je l'ai vu, elle semblait abattue et n'avait yeux que pour Sirius. Comme toujours d'ailleurs.

Elle remarqua que le brun venait de s'arrêter dans le couloir. Lizzie était à peu près sure que sa petite comédie avait intéressés plusieurs personnes dans les cabines, qui devaient se demander ce qui se passait. En regardant avec attention le dos de Regulus, Lizzie remarqua finalement qu'elle ne voyait pas la couleur de son âme. Rien de son corps ne semblait sortir. Une pointe d'étonnement traversa en vitesse les yeux émeraude de la Serpentard. Jamais auparavant, elle n'avait rencontré quelqu'un qui échappait à ses iris. Elle voyait tout. Toujours tout. Mais chez Regulus... Il n'y avait rien. Pas de couleur, pas de faux-semblant, pas de dégradé. Rien du tout. Reprenant convenance, elle se promit de faire des recherches sur son cas et finit par continuer à répliquer.

- Oh.. Et il faudrait peut-être que tu fasses la différence entre Lucius et moi. Comme tu peux le constater, je suis brune, les cheveux longs, bien plus petite et plus fine que ton ami et je n'ai pas un troupeau de pucelles qui me court après. Je suppose donc que si tu es rentré dans ma cabine, ce fut pour autre chose. Mais ne t'inquiètes pas, personne ne te portera préjudice, tous le monde sait qu'être le vilain petit canard de la famille se répercute souvent par des troubles mentaux.

Satisfaite, elle lui tourna le dos et rentra dans sa cabine. Elle espérait lui avoir donné une leçon et qu'il ne recommencerait pas à essayer de l'importuner. Lizzie Cooper n'était pas une simple fille qu'on pouvait traiter comme les autres, et il fallait qu'il se le mette dans la tête. Sortant sa baguette de sa poche, Lizzie fit apparaitre le cahier qu'elle considérait comme son journal depuis la mort de sa mère. Celui-ci tomba sur ses genoux et elle l'ouvra rapidement. Arrivant à la dernière page où elle avait écrit, elle fit apparaitre une plume et écrivit le nom de Regulus Black. Il fallait absolument qu'elle fasse des recherches sur lui. Puis, comme lorsqu'il est apparut, Lizzie le fit disparaitre aussi facilement, accompagnée de la plume.
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MessageSujet: Re: Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.    Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.  EmptyMer 24 Nov - 19:30



Il s'éloignait déjà dans le couloir en observant la quatrième de couverture de son traité sur l'esthétisme lorsque la voix de la jolie brune résonna dans les couloirs, tranchante et profondément sardonique :

- Au fait Regulus, comment va ta mère ? S'est-elle remise de la fuite de ton traître de frère ? La dernière fois que je l'ai vu, elle semblait abattue et n'avait yeux que pour Sirius. Comme toujours d'ailleurs.

Il s'arrêta instantanément. Il l'avait prévu, de toute façon. Tôt ou tard, il y aurait quelqu'un pour enfoncer les clous que sa famille avait déjà planté dans son coeur. Quelqu'un pour appuyer là où ça faisait mal. Il ne s'attendait simplement pas à ce que ça commence si tôt. Il n'était même pas encore à l'école que voilà, il se faisait déjà agressé sur le sujet. Machinalement, il songea à lui rétorquer une banalité, comme quoi sa mère se remettrait bientôt, assortie d'un merci purement ironique, mais il préféra s'épargner cette peine. A quoi bon rétorquer, c'était exactement ce qu'elle attendait. Ce que tout le monde attendait, d'ailleurs. Parce qu'elle avait prit soin de parler assez fort pour que tout le wagon entende, bien sur. Il nota mentalement cette donnée, que Lizzie Cooper était du genre à se donner en spectacle sans craindre le ridicule. Qui sait, s'il avait l'occasion de la recroiser, il en profiterait peut-être pour lui rendre la monnaie de sa pièce. Ou pas. Il pouvait aussi ignorer purement et simplement la belle brune qui lui cherchait des noises. Après tout ... pourquoi lui accorderait-il de l'intérêt ? Elle n'était rien. Rien ni personne.

- Oh.. Et il faudrait peut-être que tu fasses la différence entre Lucius et moi. Comme tu peux le constater, je suis brune, les cheveux longs, bien plus petite et plus fine que ton ami et je n'ai pas un troupeau de pucelles qui me cours après. Je suppose donc que si tu es rentré dans ma cabine, ce fut pour autre chose. Mais ne t'inquiètes pas, personne ne te portera préjudice, tous le monde sait qu'être le vilain petit canard de la famille se traduit souvent par des troubles mentaux.


Il esquissa un fin sourire, franchement amusé par l'aplomb dont la jeune femme faisait preuve. Pas de doute, elle savait où frapper. L'ennui, c'est qu'il savait aussi comment réagir. Il n'avait pas l'intention de défendre un honneur dont il n'avait cure, aussi ne répliqua-t-il pas. Cependant, il se surprit à penser qu'une discussion animée avec l'insupportable Miss Cooper pourrait se révéler intéressante. Il entendit le bruit caractéristique d'une porte qui se referme et comprit qu'elle était donc retournée dans son compartiment. Il laissa passer quelques secondes avant de se retourner, désinvolte. Une expression un peu lasse et ennuyée peinte sur ses traits aristocratiques, il darda un regard à la fois ironique et provocateur sur les quelques badauds qui avaient silencieusement ouvert la porte de leur cabine pour suivre la discussion, ou le monologue de Lizzie en l'occurrence. Devant les prunelles sombres et moqueuses, assurées, du jeune Black, tous s'empressèrent de refermer les portes et de faire comme s'il ne s'était rien passé. Après quoi Regulus baissa les yeux sur son livre, un peu hésitant. Que faire ? S'adonner au plaisir d'une joute verbale ou bien laisser tomber et repartir à la recherche de son ami Lucius ? Il haussa les épaules. L'un comme l'autre, il aurait tout le temps de le faire à Poudlard.

Un froncement de sourcil agacé plus tard, il haussa les épaules et revint sur ses pas pour ouvrir la porte de la cabine de Lizzie, qui s'était assise à sa place et tenait sur les genoux un cahier vierge. Elle leva la tête vers lui et immédiatement, il déclara d'un ton nonchalant, s'en foutiste à souhait :

- Au cas ou tu ne l'aurais pas remarqué ... Ta porte de cabine est opaque. Donc a moins d'être un mutant, je ne peux pas voir à travers. Il me fallait donc l'ouvrir pour savoir qui était dedans. C'aurait pu être n'importe qui, dont Lucius. Manque de chance, je suis tombé sur une insupportable gamine brune qui n'a pas pu résister à l'idée de se donner en spectacle, m'incluant dans le numéro sans me demander mon avis.

Il esquissa un sourire à en faire geler le soleil et acheva, ironique au possible :

- Et d'ailleurs ... plutôt pathétique, ton show. J'espère que tu ne t'attendais pas à ce que ça ait le moindre effet sur moi ... Parce que ça m'a seulement fait sourire. De pitié.

Il darda sur elle un regard si froid ... Plus froid que jamais.
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MessageSujet: Re: Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.    Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.  EmptyMer 24 Nov - 21:07

A peine Lizzie avait refermé son bouquin qu'elle entendu plusieurs claquements de portes voisines. Apparemment, Regulus devait continuer sa recherche. Un soupire de satisfaction s'échappa de ses lèvres lorsqu'elle pensa aux nombreux coups qu'elle pourra faire cette année. Violenter les filles qui tentaient de l'approcher était une de ses activités favorites, quoi qu'elle appréciait martyriser les garçons qui tentaient vainement de la séduire. Les sentiments, tous autant qu'ils sont était quelque chose que Lizzie avait du mal à comprendre, les humains étaient-ils à ce point masochiste pour en redemander encore ? Laissant ses iris foncés se perdre sur le pelage de sa petite chatte, elle fut presque surprise d'entendre, à nouveau, la porte de sa cabine s'ouvrir. En relevant sa tête, Lizzie fut presque blasée de revoir la tête de Regulus Black apparaître dans l'entrebâillement de sa cabine.

- Au cas ou tu ne l'aurais pas remarqué ... Ta porte de cabine est opaque. Donc a moins d'être un mutant, je ne peux pas voir à travers. Il me fallait donc l'ouvrir pour savoir qui était dedans. C'aurait pu être n'importe qui, dont Lucius. Manque de chance, je suis tombé sur une insupportable gamine brune qui n'a pas pu résister à l'idée de se donner en spectacle, m'incluant dans le numéro sans me demander mon avis.

Intéressant. Lizzie avait surement appuyé là où ça faisait mal pour qu'il se donne le mal de revenir vers elle. Regulus Black n'était pas du genre à revenir vers les filles, en vérité, il ne revenait vers personne. C'est du moins ce qu'elle avait apprit en entendant les sanglots de plusieurs de ses camarades de chambré, l'année précédente. Un sourire moqueur se glissa discrètement sur les lèvres pulpeuses de la mangemort. Regulus marquait presque un point. Toute les cabines n'étaient pas opaques, sauf celle des professeurs et des préfets-en-chef l'étaient. Hors, Lucius n'était ni un professeur, ni un préfet-en-chef. D'ailleurs, il était étrange de voir que Lizzie se retrouvait pile dans sa cabine et toute seule. Une fois de plus, la chance avait du lui sourire. Elle voulut répliquer d'un ton qui se voulait désinvolte, mais Regulus continua son petit discours, au plus grand amusement de la brune, qui finalement, trouvait cette rentrée plutôt intéressante. Il se mit à sourire d'une façon froide, presque mortel, comme si la prochaine remarque qu'il ferait l'achèverait une bonne fois pour toute...

- Et d'ailleurs ... plutôt pathétique, ton show. J'espère que tu ne t'attendais pas à ce que ça ait le moindre effet sur moi ... Parce que ça m'a seulement fait sourire. De pitié.

... Ou pas. Regulus avait beau avoir du répondant, il n'arrivait pas à aussi bien appuyer là où ça faisait mal. Mais quoi de plus normal ? Il ignorait tout d'elle, alors que Lizzie le connaissait plutôt bien. Seulement à cause des mangemorts et des tonnes de Serpentards de son dortoir qui était passées dans son lit. Regardant droit dans les yeux Regulus, une once d'amusement traversa ses prunelles émeraude. Elle resta indifférente au regard qui lui lança et se releva gracieusement de sa banquette. Elle inclina doucement la tête et un petit rire moqueur sortit de sa gorge, brisant ainsi le silence qui venait de s'installer. Puis, son rire retomba et le silence redevint la douce mélodie du duel. Lizzie se rapprocha doucement de Regulus, et lança en même temps :

- En vérité, Regulus Black, soit tu es très idiot, soit tu es très intelligent. Mais vois-tu, j'opte pour la première option. Cela expliquerait beaucoup de chose... Vois-tu, au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, les seules cabines où les vitres sont opaques, ce sont les parties qui sont réservées aux professeurs ou aux préfets-en-chef. Lucius n'est n'y l'un, ni l'autre. De plus, tu m'as dis que tu cherchais ton ami Lucius... Imaginons donc une seconde que toutes les vitres des cabines soient opaques... Pour retrouver ton.. Cooopain, tu aurais ouverts toutes les cabines du train ? Lizzit fit une pause, inclina d'avantage la tête et prit une voix légèrement gaga, comme si elle s'adressait à un chien. Comme il est mignon Regulus, j'ignorais ton côté toutou. C'est Lucius qui doit être fière de toi, dis donc. Il t'a bien dressé.

Elle soupira et se mit à sourire de façon pragmatique, cherchant à tout prix à le faire renoncer, à le faire reculer ou à le faire regretter ses paroles ou ses gestes. Personne ne dérangeait Lizzie Cooper, et encore moins un idiot qui se prenait pour quelqu'un qu'il n'était pas. Voulant d'avantage l'enfoncer, elle continua sur sa lancée, ne lui laissant donc pas le temps de répliquer.

- Et vraiment, si mon discours n'aurait pas eut d'effet sur toi, tu aurais renoncé, non ? Tu ne serais certainement pas là, devant moi, à essayer de te faire passer pour ce que tu n'es pas, pas vrai ? Tous le monde ne peut pas être aussi courageux - mais idiot - que ton frère, Regulus. Tu aurais pourtant dû comprendre la leçon, depuis le temps, non ?

Un sourire glacial fleurit sur les douces lèvres rosés de Lizzie, celui-ci s'esquissa d'avantage et laissa place à ses dents blanches et alignés. Elle aurait presque fait peur, dans cette position. Puis, faisant comme si de rien n'était, elle recula d'un pas et croisa les bras, tout en haussant les sourcils. Soit il répondait, soit il abandonnerait. Avec un peu de chance, il comprendrait qu'elle était largement supérieure à lui.
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6ème année
Regulus A. Black

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MessageSujet: Re: Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.    Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.  EmptyJeu 25 Nov - 0:28



La jeune femme inclina doucement la tête et se leva souplement, se rapprochant de lui d'une démarche féline, gracieuse. Elle déclara alors, d'un ton qui se voulait tranchant mais qui n'eut aucun effet sur le jeune Black :

- En vérité, Regulus Black, soit tu es très idiot, soit tu es très intelligent. Mais vois-tu, j'opte pour la première option. Cela expliquerait beaucoup de chose... Vois-tu, au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, les seules cabines où les vitres sont opaques, ce sont les parties qui sont réservées aux professeurs ou aux préfets-en-chef. Lucius n'est n'y l'un, ni l'autre. De plus, tu m'as dis que tu cherchais ton ami Lucius... Imaginons donc une seconde que toutes les vitres des cabines soient opaques... Pour retrouver ton. ... Cooopain, tu aurais ouverts toutes les cabines du train ?

Regulus arqua un sourcil et failli lui faire remarquer d'un ton ironique que les vitres, comme elle disait, n'était que des portes en bois coulissantes, assez massives et pas toutes dotées d'une fenêtre, justement. Mais il préféra la laisser terminer avant de lancer son offensive. Mais d'un seul coup, le ton se fit profondément sardonique. On aurait dit qu'elle s'adressait à un bébé, ou pire encore ... a un chien.

- Comme il est mignon Regulus, j'ignorais ton côté toutou. C'est Lucius qui doit être fière de toi, dis donc. Il t'a bien dressé.

Regulus lui décrocha un regard profondément méprisant, regrettant déjà d'être revenu sur ses pas. Diable, il aurait mieux fait de trouver Lucius pour discuter avec lui de la théorie de l'esthétisme morbide plutôt que de perdre son temps avec cette stupide greluche qui semblait le prendre pour un parfait idiot. Grand bien lui en fasse, il n'allait pas s'attarder. Et tandis que Lizzie Cooper affichait un sourire triomphant, elle reprit d'un ton plus normal mais toujours aussi charmant :

- Et vraiment, si mon discours n'avait pas eut d'effet sur toi, tu aurais renoncé, non ? Tu ne serais certainement pas là, devant moi, à essayer de te faire passer pour ce que tu n'es pas, pas vrai ? Tous le monde ne peut pas être aussi courageux - mais idiot - que ton frère, Regulus. Tu aurais pourtant dû comprendre la leçon, depuis le temps, non ?


Le jeune Black arqua un sourcil et retrouva son air dédaigneux. Croyait-elle vraiment que, à force de lui agiter le prénom de son frère sous le nez, il allait réagir ? Il y avait beau temps qu'il avait appris à vivre dans l'ombre de son héroïque frangin. Qu'il ne se souciait plus de ce que pouvait penser les gens à son sujet, par rapport à Sirius. Certes, c'était toujours aussi amer et douloureux, parfois. Mais il fallait, pour que ce genre de propos aient un minimum d'impact sur lui, avoir une certaine importance à ses yeux. Hors, l'avis de Lizzie Cooper sur la question, il n'en avait strictement rien à foutre. Haussant les épaules d'un air méprisant et s'en foutiste, il le détourna pas le regard lorsqu'il lui répondit d'un ton trainant :

- Tu te répètes, tu sais ? A force de me jeter le nom de mon frère à la figure à tout bout de champs, je vais croire que tu en pince pour lui, comme la majorité des filles de cette école. Quant à me faire passer pour ce que je ne suis pas ...

Il esquissa un fin sourire, cruel. D'un ton glacial, il acheva :

- Il faudrait que tu saches de quoi tu parles, avant de t'avancer sur ce terrain.

Il recula alors, brisant brusquement le contact visuel qu'il avait maintenu jusque là sans trop ciller, sans problème. Il en avait assez de perdre son temps et il le fit savoir, tout en se retournant pour ouvrir la porte :

- Bon et sur ces belles paroles, je m'en vais retrouver Lucius. J'ai assez perdu mon temps comme ça.

Il fit mine de ressortir sans même lui jeter un dernier regard, agacé par cette discussion stupide et absolument pas intéressante. Il se serait attendu à mieux, de la part de la jeune femme. Elle lui avait semblé plus ... innovatrice que ça, dans sa répartie. Au final, elle ne faisait que radoter sur le même thème. Sirius Black. Il haussa les épaules.

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Lizzie Cooper

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MessageSujet: Re: Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.    Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.  EmptyDim 28 Nov - 0:04


Lizzie attendit avec patience sa réaction qui ne tarda pas. En effet, le jeune homme finit par arquer un sourcil, et prit une moue à la fois provocante mais à la fois de dédain. Comme si, au fond, il s'en fichait. Son visage ne tiqua pas et ses traits harmonieux restèrent lisses, figés dans cette peau aux allures laiteuses. La frustration commençait à monter chez Lizzie. Il ne lui était pas coutume de voir des personnes ne pas avoir de réactions face à ses paroles, si cruellement dit. avec patience, elle attendit que Regulus bouge ou ressente quelque chose, n'importe quoi. Jamais avant aujourd'hui, elle n'avait rencontré un élève de l'école qui évitaient avec soin l'acide de ses mots; elle n'avait aucune preuve de savoir si ce qu'elle avait dit l'avait attrister. Impatiente, elle se mordit doucement la lèvre inférieure. Ce genre de situation ne se présentait que lorsqu'elle revenait au manoir des mangemorts, son chez elle. En compagnie des plus redoutables tueurs que le monde ait connu jusqu'à présent, elle se sentait étrangement petite. Réputée pourtant pour la froideur de ses actes et la barbarie de ses dires qui multipliaient des réactions diverses, à chaque fois. Mais, l'ignorance n'était pas un sentiment qu'elle avait l'habitude de rencontrer - mis-à-part à sa demeure. Enfin, le Sepentard réagit avec lenteur et sembla reprendre convenance. Il haussa les épaules, comme s'il renonçait à tenter de s'expliquer avec elle et lança, d'un ton que Lizzie n'appréciait guère :

- Tu te répètes, tu sais ? A force de me jeter le nom de mon frère à la figure à tout bout de champs, je vais croire que tu en pince pour lui, comme la majorité des filles de cette école. Quant à me faire passer pour ce que je ne suis pas... Il faudrait que tu saches de quoi tu parles, avant de t'avancer sur ce terrain.

Un sourire tout aussi cynique que celui de Regulus se posa avec délicatesse sur les lèvres de Lizzie. Regulus avait le sens de la répartie, c'était certain, encore fallait-il qu'il sache où viser pour toucher ses adversaires. Hors, il lançait au pif, fermant presque les yeux sur sa cible et visant au petit bonheur la chance. Et sans surprise, ça ne marchait pas. Si Lizzie insistait avec autant de conviction sur son frère, c'était pour enfoncer le couteau dans la plaie du jeune homme. Ayant plusieurs fois parlé avec sa mère, elle savait combien il tentait de faire des efforts pour plaire à sa famille, mais celle-ci l'ignorait complètement, préférant encore Sirius à lui. S'en était trop risible pour que Lizzie ne profite pas de la situation. Le brun avait surement du en pâtir durant son enfance, bafoué et rejeté par sa famille, mit à l'ombre par son frère, pas très glorieux... Et lorsque l'occasion de prendre sa place et d'être le petit chouchou de la famille se présente, Regulus échoue encore au test et se fait d'autant plus mal voir par sa mère. Il était là le point faible de Regulus Black. Lizzie Cooper en était certaine et appuyer sur d'autre endroit qui ne le toucherait pas serait inutile, voilà pourquoi la répétition inlassable du petit sermon sur le grand frère merveilleux était l'accrochage parfait pour lui en faire baver. Mais soit, il en avait marre, donc elle utiliserait d'autre moyen, d'autre phrase, d'autre mot et d'autre subtilité plus poignante pour le faire tomber aussi bas que sous terre. Quelle douce mélodie que devait être le chagrin du petit Black.

Pour ce qu'il s'agissait de ce qu'elle connaissait sur Regulus Black... La mangemort trouvait qu'elle en savait déjà bien assez. Walburga, en plus d'être incroyablement ennuyeuse et répétitive en ayant que le prénom de son petit Sirius en bouche, n'a pas mâcher ses mots lorsqu'elle parlait de son frère. Certes très bon travailleur et exemplaire en tant que Serpentard, il semble suivre les convictions que ses parents lui ont enseignés mais n'a, pourtant, jamais eut écho d'une quelconque maltraitance envers les sang de bourbe ou les traîtres à leur sang. Entre un fils qui reniait ses origines et un autre lèche botte qui paraissait hypocrite, la mère des deux Black ne savait plus où donner de la tête.

- Bon et sur ces belles paroles, je m'en vais retrouver Lucius. J'ai assez perdu mon temps comme ça.

Revenant à elle, Lizzie observa sa potentielle future victime se reculer d'un pas et sortir d'un pas lent. Lucius Malefoy et Regulus Black... Voilà qui n'était pas franchement étonnant. Deux libertins, deux sangs purs, riches et immatures au possible. De par Narcissa, la brune connaissait Lucius; en effet, cet été, lorsque la cousine de Regulus passait au manoir afin de rendre visite à Elana, Lizzie de sa chambre entendait leurs conversations, qui portaient sur tout et n'importe quoi. Cependant, elle en avait retenu une qui l'avait marqué. Lucius Malefoy ou le grand libertin " je m'en foutiste ". La cadette des Black avait alors énoncé un potentiel mariage entre lui et elle et cette idée n'avait pas semblé la réjouir, bien au contraire. Par sa réputation, Lizzie avait du garder un œil sur Lucius et en examinant son comportement et ses réactions vis-à-vis des autres, elle l'avait rajouté sur sa liste de futur mangemort. Lizzie laissa un soupir las s'échapper de ses lèvres pulpeuses puis elle s'assit de nouveau sur la banquette, tandis que Regulus passait l'entrebâillement de sa cabine. Avant qu'il ne parte, elle ne put s'empêcher de lancer d'un ton arrogant :

- Ton temps en lui même est une perte de temps Regulus Black. Tout ce que tu fais est une pitoyable copie de ton Lucius chéri. Mais soit, va donc le retrouver et lui raconter ta vie palpitante. Je suis certaine qu'il n'a rien de mieux à faire en plus. Après tout, être capitaine de son équipe de Quidditch, ça n'apporte aucuns avantages. Elle fit une pause et attrapa son bouquin. Tu sais, Regulus, je crois que je te connais mieux que n'importe qui dans cette école. Ta vie a été mes devoirs de vacances, quant à tes réactions et tes sentiments, j'ai du les observer avec attention, l'année précédente.

Elle s'arrêta, consciente qu'elle allait certainement trop en dire. Parfait. Il devait maintenant la prendre pour une délurée complètement hystérique est folle amoureuse de lui. Pathétique. Elle tenta de se rattraper en le voyant immobile.

- Ne crois pas que je fais partie de ton fan-club. Bien au contraire, je suis celle qui sera la cause de la destruction de ta vie et de ta liberté. Profite bien de cette nouvelle année, Black. Il se pourrait que l'année prochaine, tu sois obligé de porter des chaines et une muselière bien serré.

Satisfaite, Lizzie soupira et resta impassible. Ne faisant pas attention à la réaction qu'il pouvait avoir, elle ouvrit son bouquin et relut rapidement quelques passages qu'elle avait écrit cet été sur son sujet d'étude, en d'autre terme sur Regulus. Bien sûr, il n'avait pas été le seul, mais le Seigneur des Ténèbres avait insisté pour qu'elle se penche sur son cas et qu'elle lui fasse tous les mois un rapport détaillé sur Regulus Acturus Black. Il était certain que son premier rapport serait riche en émotion, ou... pas.
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MessageSujet: Re: Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.    Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.  EmptyMer 1 Déc - 15:27



Il allait sortir lorsque la voix de Lizzie se fit entendre, à la fois trainante et ironique. Il retint un soupir agacé et se prépara à entendre ce qu'elle allait lui dire.

- Ton temps en lui même est une perte de temps Regulus Black. Tout ce que tu fais est une pitoyable copie de ton Lucius chéri. Mais soit, va donc le retrouver et lui raconter ta vie palpitante. Je suis certaine qu'il n'a rien de mieux à faire en plus. Après tout, être capitaine de son équipe de Quidditch, ça n'apporte aucuns avantages.

Il eut une légère coupure et un bruit sourd se fit entendre, que Regulus ne pu identifier car il était dos à la belle brune. Mais déjà, elle reprenait, toujours aussi agréable.

- Tu sais, Regulus, je crois que je te connais mieux que n'importe qui dans cette école. Ta vie a été mes devoirs de vacances, quant à tes réactions et tes sentiments, j'ai du les observer avec attention, l'année précédente.

Tiens donc. Lizzie Cooper lui avouait de but en blanc l'avoir observé avec attention. Le grand Black arqua un sourcil, mi-amusé mi-ironique et se demanda, l'espace d'un instant, si la belle brune n'avait pas eu un faible pour lui, comme la plupart de ses collègues. Mais il chassa bien vite cette idée de sa tête. Elle était trop froide et trop désagréable pour qu'il s'arrête à penser qu'elle aurait pu lui plaire. De toute manière, elle se reprit rapidement, plus lasse et moins tranchante :

- Ne crois pas que je fais partie de ton fan-club. Bien au contraire, je suis celle qui sera la cause de la destruction de ta vie et de ta liberté. Profite bien de cette nouvelle année, Black. Il se pourrait que l'année prochaine, tu sois obligé de porter des chaines et une muselière bien serré.

Cette fois, le jeune Black ne pu se retenir d'esquisser une grimace de dégout. Il détestait les liens. Son frère en avait la phobie, c'était maladif, mais si lui supportait mieux l'idée, elle ne lui plaisait pas pour autant. Il se raidit légèrement et soupira, excédé. Sans se retourner, il lança d'un ton sec :

- Tu peux clamer partout que tu me connais mieux que personne, tu sais. Tu ne feras que te couvrir de ridicule. Tu me diras ... ça ne te fera peut-être pas de mal, tu n'as pas l'air étouffée par le manque de confiance en toi. Quant à ma vie qui serait tes devoirs de vacance ... C'est drôle, j'aurais pensé qu'une fille comme toi ne se souciait pas tellement de ce genre de chose. Nous nous sommes déjà croisé dans ces soirées mondaines que tu connais surement mieux que moi, Miss Cooper. Et même si je me fou totalement de savoir qui tu es, ce que tu es ... Il n'en reste pas moins que tu as choisi ton camp.

Il se retourna alors pour lui faire face, un sourire doux-amer aux lèvres :

- Ne crois pas que j'en fasse partie, malgré les apparences. Les désillusions sont douloureuses ...

Il s'inclina légèrement et recula vers la porte, qu'il referma en silence après avoir adressé un dernier regard amusé à la jeune femme. Il avait perdu son temps, mais il n'en était pas aussi contrarié qu'il ne l'aurait pensé. Haussant les épaules, il retourna à ses recherches afin de trouver Lucius, son livre d'esthétisme à la main et un sourire glacé aux lèvres.
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MessageSujet: Re: Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.    Sometimes, there are things which escape us... ▪ Regulus&Lizzie.  EmptyJeu 23 Déc - 18:26

Un ange passa, pas si long, mais un blanc malgré tout. Lizzie en profita pour rajouter quelques éléments qu'elle voulait compléter à la fiche du fameux Regulus Black. Il était insupportable. Totalement insupportable. La brune ne comprenait donc pas le choix de son maître sur le jeune Black, en sachant les tendances penchés de son frère pour le bien et tout ce qui s'en suivait; une noble cause. Pourquoi Regulus ferait exception à la règle ? Certes, il a été envoyé à Serpentard, mais il a reçut la même éducation que son frère, quoi peut-être moins prononcé et pointu, mais un minimum de bases qui leur avaient été inculqués. Laissant sa plume noire apparaitre dans sa main droite, elle se pencha et se mit à écrire les quelques traits de caractères qu'elle avait pu observer lorsqu'il lui avait répondu. S'il devenait mangemort un jour, un énorme travail serait à faire. Il n'était pas prêt. Et ne semblait pas avoir l'air de vouloir l'être. Mais qu'importe, son choix lui importait peu, avec sérieux, elle se mit donc à rédiger d'un anglais italique, légèrement ronde sur quelques côtés ce qu'elle avait pu apercevoir. Puis, le jeune Serpentard sembla vouloir reprendre la parole, coupant court à ses écrits, il lâcha d'un ton abrupt :

- Tu peux clamer partout que tu me connais mieux que personne, tu sais. Tu ne feras que te couvrir de ridicule. Tu me diras ... ça ne te fera peut-être pas de mal, tu n'as pas l'air étouffée par le manque de confiance en toi. Quant à ma vie qui serait tes devoirs de vacance ... C'est drôle, j'aurais pensé qu'une fille comme toi ne se souciait pas tellement de ce genre de chose. Nous nous sommes déjà croisé dans ces soirées mondaines que tu connais surement mieux que moi, Miss Cooper. Et même si je me fou totalement de savoir qui tu es, ce que tu es ... Il n'en reste pas moins que tu as choisi ton camp.


Au moins, il n'était pas idiot, il avait comprit. C'était un bon point à prendre en note. Dans tous les cas, elle ne comprenait pas pourquoi la discussion basculait sur elle ? Il était certain qu'elle avait choisit son camp, et ça depuis ses sept ans, au minimum. Fronçant les sourcils, elle se demandait en quoi ses propres choix pouvaient faire quelque chose à Regulus Black ? Tentait-il de lui faire comprendre de manière subtile qu'il n'avait pas choisit son camp, ou du moins pas celui auquel elle s'attendait ? Soit. Qu'il fasse ou choisisse ce qu'il souhaite, il n'aura aucune autre alternative que d'avoir la marque des Ténèbres avant le début de sa septième année. Pauvre enfant, victime des choix de sa famille, sans liberté, ni identité propre à lui même. Lizzie aurait voulu lui répliquer une phrase du style « Bienvenue au club », mais il fut plus rapide et esquissa un mouvement, se retournant à moitié vers elle. Une sorte de sourire désagréable se posa sur ses lèvres, se comparant facilement à une grimace assez risible. Particulièrement dans cette situation. Lizzie ne tiqua pas, attendant qu'il finisse ce qu'il voulait dire, attendant qu'il tombe tout seul dans la cage qu'il ne voulait pas. Il tomberait, un jour ou l'autre.

- Ne crois pas que j'en fasse partie, malgré les apparences. Les désillusions sont douloureuses ...

Et, tandis qu'il se mit à s'éclipser, en s'inclinant doucement et en lui accordant un dernier regard, bref, Lizzie soupira et se retint de rire, de se foutre aussi facilement de lui. C'était un comique, c'était certain. Pauvre idiot. Croire qu'il peut quelque chose contre la volonté du Seigneur des Ténèbres, c'est comme être suicidaire. Regulus ne pouvait rien faire. Qu'importe ses convictions si honorables soient-elles, il finira vite par changer d'avis. Son frère, Sirius, avait simplement eu de la chance que Lizzie ne se soit pas mêlée de son cas, seulement son petit frère, lui, était ciblée depuis quelques années, remplaçant le Black que son maître n'avait pas pu avoir. Il payait pour son frère. Et rien ne pouvait le sauver de cette situation, absolument rien. Un sourire sardonique sur les lèvres, Lizzie referma d'un geste son journal et le fit disparaitre aussi facilement qu'elle l'avait fait apparaitre. Puis, laissant ses pensées divaguer, son sourire machiavélique s'accentua, laissant ses iris vert bouteilles se perdent sur le paysage qui défilait à toute vitesse. Cette année promettait en émotion, c'était certain.

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