The Virtual Hogwarts
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 & tu finiras par m'appartenir. || Eden & Angel.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

7ème année
Angel Salvatore

Place à
Angel Salvatore
et sa baguette.







Parchemins : 3
Age : 31
Localisation : Auprès d'une jeune fille.
Emploi : Séduction.
Humeur : Joueuse.

Lumos
Situation:
Origine:
Camp:

& tu finiras par m'appartenir. || Eden & Angel. _
MessageSujet: & tu finiras par m'appartenir. || Eden & Angel.   & tu finiras par m'appartenir. || Eden & Angel. EmptySam 4 Déc - 1:00

& tu finiras par m'appartenir. || Eden & Angel. Susan-3-susan-coffey-12268483-100-100 & tu finiras par m'appartenir. || Eden & Angel. Ian-Somerhalder-damon-salvatore-9438500-100-100

I wait, I wait, ... and my desire is more bruning.


Cela faisait déjà une bonne semaine qu’il venait de faire sa rentrée à Poudlard, et le jeune Serdaigle prenait peu à peu conscience, le fait que c’était sa toute dernière année ici. Même si il laissait vaguement supposer que pour lui, quitter cette école de magie ne lui serait que bénéfique, car il en avait assez de se mélanger avec des jeunes, et que pour être une véritable homme il se devait d’entrer dans la vie active, il avait un léger pincement au cœur en pensant qu’il ne reverrait certainement jamais plus ce château chaleureux et accueillant. C’est ici qu’il a évolué, depuis qu’il a apprit pour sa nature de sorcier. Ce château, l’a vue grandir. Ses vieux murs de pierres ont absorbé ses peines, ses douleurs, ses craintes, ses joies, ses rires, … Tout ce qu’il peut laisser comme trace derrière lui. Lâchant un petit soupir, Angel se leva du fauteuil de sa salle commune dans lequel il se trouvait. Il pouvait sentir les regards des jeunes demoiselles de première année s’attarder sur lui, tandis qu’il empruntait la sortie de la salle commune. Vous connaissez ce genre de filles, des filles totalement pimbêches, dès leur plus jeune âge, et qui ne rêve que de se vanter de sortir avec un des garçons les plus populaires de Poudlard. Si déjà en première année leur mentalité était ainsi, en septième année, c’est les garçons qui iront les voir, sachant qu’ils trouveront des cuisses déjà ouvertes à leur demande. Un petit sourire mesquin se posa sur ses lèvres, tandis qu’il marchait dans le couloir. Il avait une grande envie de parler avec son meilleur ami ; Matt, seulement ce dernier était actuellement à la bibliothèque, en train de réviser, et le beau brun n’avait pas du tout envie de s’y rendre. Un samedi après-midi, il ne travaillait pas, non, il profitait de ce moment de liberté pour trouver quelques jeunes filles avec lesquelles s’amuser.

Il décida de se rendre au parc. Il était environ quinze heure de l’après midi, et il était certain que le parc ne serait pas désert en cet après midi ensoleillé. Le chaleur n’étant pas au rendez-vous, Angel avez rapidement enfilé un pull gris par-dessus sa chemise blanche. Les mains dans les poches de son jean un tantinet délavé, il arborait une attitude décontractée, totalement indifférente, sa chemise dépassant à moitié de sa chemise. Le froid de septembre le mordit quelque peu, mais c’était amplement surmontable. Balayant la cour du regard, il vit une jolie blonde, seule sur un banc, non loin de l’endroit où il se trouvait. D’après le visage de la jeune femme, le jeune Serdaigle en déduisait qu’elle se trouvait approximativement en sixième année, peut-être cinquième. Gravant un sourire plus que ravageur sur ses lèvres qui connaissait si bien ce masque là, il s’approcha avec assurance de la blondinette. Se posant sans grande gêne sur le banc, les yeux bleutés de sa nouvelle proie se posèrent sur lui. Très rapidement, il vit qu’elle appartenait à la maison des Gryffondors. Angel n’en avait que faire de la maison, mais il percevait ainsi un peu moins le caractère de la victime. Oui, victime. Car il ne comptait prendre de la jeune femme que ce qu’il voulait, le reste il n’en avait rien à faire. Passant furtivement sa main dans sa chevelure brune emmêlée, il vit qu’il avait toute l’attention de la jeune femme. D’une voix mélodieuse, il brisa le silence, et lança :

- T’es de loin une des plus belles filles de Poudlard.

A ces mots, il vit les joues de la concernée rosir de plaisir. Angel avait ce don, d’hypnotiser n’importe quelle jeune fille, et c’était réellement un pouvoir qui lui plaisait. Il n’avait jamais su si ce don provenait de son regard, ou de ce qu’il dégageait, mais ça lui avait été d’une grande aide dans tout ce qu’il pouvait entreprendre. Alors qu’il allait continuer ses compliments déjà tous réutilisés des milliers de fois, il vit une rousse passer tout près. Il l’aurait reconnu entre milles. Eden. Sa petite rousse préférée, sa petite Poufsouffle préférée. Depuis qu’il avait rencontré la demoiselle à la bibliothèque, il n’avait jamais réussi à l’avoir dans son lit, mais il ne baissait pas les bras pour autant. Cela faisait un an qu’il lui courait après entre deux autres filles, et il ne lâcherait pas les armes, tant qu’il n’aurait pas eu ce qu’il désir par-dessus tout ; Eden. Elle l’épuisait à toujours refuser, et pourtant c’était tellement divertissant que ça ne le lassait pas. Il n’avait pas encore eu l’occasion de lui parler depuis le début de l’année, et sans problème il allait délaisser la blondinette à ses côtés pour la belle rousse qui partait se poser à un banc plus reculé que les autres. Il se releva, et lança un rapide regard à la rouge et or, en lâchant :

- Je te garde comme dessert ma belle.

Et sur ces mots, il se dirigea vers sa proie favorite, sans un regard pour la bonde restée seule sur le banc. Avec conviction, il s’avança vers Eden, assise sur son banc, plongée dans un roman. Soit elle ne l’avait pas vu, bien trop absorbée par son bouquin, soit elle l’ignorait. Avec aisance, il s’assit à ses côtés, et la regarda de profil. Elle était irrémédiablement belle, et Angel comprenait de plus en plus pourquoi il la voulait tellement. Son nez fin, ses yeux bleutés, sa bouche pulpeuses, ses traits méticuleusement tracé, et ses cheveux roux. Il la contempla, sans gêne, la dardant d’un regard qui en disait long sur son désir de l’avoir à lui un moment. Lâchant un petit soupir, il brisa le silence, d’une voix amusée :

- Alors, ma petite rousse préférée, est-ce que je t’ai manqué durant ces vacances ? Demanda-t-il avec ironie.

Il devinait parfaitement la négativité de la réponse, mais il s’en fichait éperdument. Un sourire en coin, mutin, se trouvait sur ses lèvres en cet instant. Patient, il attendait que Eden daigne lever ses yeux de son bouquin sur lui. Il l’aurait, un jour ou l’autre, il l’aurait, elle lui appartiendrait.
Revenir en haut Aller en bas
http://dray-lo0ve-mione.skyrock.com

Invité
Anonymous

Place à
Invité
et sa baguette.








& tu finiras par m'appartenir. || Eden & Angel. _
MessageSujet: Re: & tu finiras par m'appartenir. || Eden & Angel.   & tu finiras par m'appartenir. || Eden & Angel. EmptySam 4 Déc - 5:52



Le lac. Un havre de paix, songeait la jolie sirène tandis qu’elle dévalait les escaliers pour se rendre dans le parc. Elle sortait d’un cours d’histoire de la magie plutôt intéressant, mais terriblement éprouvant pour les mains et les neurones. Il fallait noter énormément dans ce cours, si l’on voulait pouvoir s’y retrouver, et travailler correctement ses examens. Il y avait énormément à apprendre, en vérité. L’histoire des sorciers et des autres créatures était tout bonnement passionnante pour Eden qui n’avait jamais appris que ses traditions marines, malgré de nombreux éléments de culture dus à son rang et à ce qu’elle représentait pour son peuple en sa qualité de princesse des mers. Elle était d’ailleurs l’une des seules à garder les yeux rivés sur le professeur et à écouter pendant toute l’heure ce qu’il pouvait bien raconter. Les double cours que les élèves enduraient parfois étaient deux fois plus éprouvants, mais elle tenait bon. Les résultats étaient à la clé, évidemment. Elle se disait qu’avoir ses examens, à la fin de l’année prochaine, serait sûrement une grande fierté, pour elle-même. Peut-être pas pour ses parents, puisqu’elle était de toute façon obligée de retourner sous l’eau à la fin de sa septième année dans tous les cas, mais rien que pour se dire qu’elle l’avait fait.

Après tout, elle avait eu ses BUSE avec succès. Elle se souvenait parfaitement de la soirée qu’elle avait passée avec Gabriel au bord de l’eau pour fêter l’évènement, la fin des épreuves. Malheureusement, les deux jeunes gens s’étaient rencontrés que tard dans l’année, et ils avaient noué des liens très rapidement. En guise de cadeau de fin d’année, elle avait enlevé son aigue marine de son cou, et avait plongé dans le lac. Elle avait entraîné le beau Gryffondor avec elle. Cela avait été la première fois qu’il avait vu les nageoires de sa cousine et meilleure amie. Il en avait presque pleuré d’émotion, et elle avait bien failli lui rendre ces larmes qui ne voulaient pas couler en voyant la joie illuminer ses traits. Jamais elle n’aurait imaginé que cela lui faisait tant d’effet. Depuis ils avaient renouvelé l’expérience, mais toujours avec le même plaisir et le même enthousiasme.
Gabriel et elle partageait tellement, à présent, c’en était perturbant…

Elle l’avait vu la veille à la bibliothèque, et avait fêté leurs retrouvailles comme il se devait. Pour l’heure, un sourire discret mais lumineux éclairait ses lèvres tandis qu’elle arrivait aux portes de l’école, son roman à la main. Exceptionnellement, elle n’avait aucun devoir, et n’avait pas envie de retourner à son dortoir faire une sieste, ou rencontrer ses amis. La plupart était encore en cours, ou bien occupés ailleurs. C’était donc tout naturellement qu’Eden était passé faire un saut à la bibliothèque pour emprunter un roman moldu. De toutes les cultures, c’était celle qu’elle avait le moins étudié et le moins côtoyé. A vrai dire, elle n’avait encore jamais vu un moldu de sa vie, et espérait un jour faire cette expérience. En attendant, elle récupérait des indices sur leur civilisation là où elle pouvait. « Orgueil et préjugés » de Jane Austen, lui avait été conseillé par un élève à qui elle avait demandé conseil et qui avait semblé ravi de la renseigner. Elle avait été un peu surprise, au début, de voir à quel point les choses avaient changé, évolué avec le temps.
Elle n’avait pas réellement attiré l’attention, lorsqu’elle était arrivée, l’année précédente. Trop discrète, trop effacée, pas du tout intégrée. La jolie sirène manqua de pouffer de rire en se souvenant du temps où elle n’arrivait pas à aligner trois pas sans tomber. Elle avait même atterri à l’infirmerie pour une intoxication alimentaire, due à la nourriture qu’elle n’avait pas réellement l’habitude de manger. Elle ne prenait d’ailleurs toujours pas de poisson, et avait du mal à ne pas le fixer d’un regard désapprobateur lors des repas, mais ça, c’était une autre histoire.

La jolie rousse s’élança au dehors, et sentit les premiers rayons du soleil éclairer sa peau pâle, à la limite du translucide, typique des jeunes femmes de sa condition. Il ne faisait pas particulièrement chaud, mais elle avait rapidement appris que la météo chez les humains était tout à fait incompréhensible et qu’il ne fallait pas chercher à la discuter. Revêtue d’un léger pull en col V et d’un jean en denim bleu. Elle aimait à regarder les élèves, leurs agissements dans les environs, sans pour autant les épier, avant de se plonger dans ses propres activités. Mécaniquement, elle restait vigilante, et ne voulait pas trop sortir du lot pour ne pas attirer la méfiance des autres. Il fallait qu’ils n’aient aucun soupçon. Seuls les professeurs, et Gabriel étaient au courant. Elle n’était même pas sûre que les deux élèves les plus gradés de l’école le fussent. Il semblait que ce n’était pas le cas. Trop de gens s’épiaient les uns les autres, elle aurait certainement remarqué, étant elle-même devenue plutôt douée pour décrypter les réactions et les comportements de certaines personnes.

Ainsi ne fut-elle pas surprise en remarquant Angel Salvatore occupé à retrousser ses babines pour dévorer toute crue une jolie Gryffondor assise tranquillement sur un banc. Il avait encore frappé. Avec un petit sourire mi-amusé, mi-exaspéré, elle passa son chemin, et alla s’asseoir sous un vieux chêne, qu’elle avait repéré dès son premier soir à l’école Poudlard. Il lui avait toujours paru comme un repère indispensable dans l’immensité de cette étendue verte. Eden espérait d’ailleurs sincèrement qu’il ne l’avait pas remarqué, lui donnant ainsi un peu de répit, mais elle aurait dû savoir qu’il n’y avait aucune chance pour que cela arrive. Il arriva bientôt, se plantant sans aucune gêne devant elle, et la regardant avec son air de loup carnassier déguisé en mignon petit agneau. Elle ne se laissait évidemment pas prendre, mais elle avait tout de même du mal à ne pas rougir devant les efforts évidents que le beau jeune homme déployait pour arriver à ses fins.

« Alors, ma petite rousse préférée, est-ce que je t’ai manqué durant ces vacances ? »

Elle était parfaitement consciente que depuis l’année précédente, Angel avait jeté son dévolu sur elle. Elle était certainement la seule à l’avoir jamais repoussé, même aussi gentiment que possible. Celui-ci usait d’ailleurs du manque de confiance en elle de la jeune femme, et en profitait pour revenir à la charge le plus souvent possible, la mettant encore plus mal à l’aise. La jolie rousse n’aimait pas décevoir les gens, ni les éconduire, et encore moins les blesser, même si ce n’était que dans leur égo. Elle ne savait plus réellement quoi faire pour lui dire que, non, ça n’arriverait jamais. Elle leva les yeux de son livre, et dissimula sa confusion derrière une page du fameux ouvrage.
S’il lui avait manqué ? En vérité, elle n’avait pas pensé une seule seconde à lui, bien trop occupée à regretter Gabriel et à savourer les retrouvailles marines avec sa famille… Et son époux. Cela avait certainement été la seule tâche d’ombre de son été, car elle avait du prétendre que rien n’avait changé. Elle éprouvait énormément de tendresse pour lui, bien sûr. Après tout, elle avait eu de la chance dans son mariage. Elle n’était pas tombée sur n’importe quel prince vaniteux et imbu de lui-même. Il l’aimait réellement et se souciait d’elle, ce qui rendait la situation encore plus difficile et plus délicate, car elle était incapable de lui rendre son amour.

Esquissant un petit sourire assez neutre, elle se résigna à agir un peu comme elle avait l’habitude de le faire. Elle avait bon espoir de trouver un jour une technique imparable à lui opposer, mais pour l’heure elle se sentait toujours un peu gênée en sa présence.

« J’avouerai que je n’ai pas eu le temps de déplorer ton absence. »

Elle restait assez gentille dans ses mots. Le but n’était pas de l’agacer ou de le heurter, mais pas de l’encourager pour autant. Elle avait encore des progrès à faire, évidemment, mais elle était dans la bonne voie. Du moins l’espérait-elle, car elle ne passerait sûrement pas l’année si elle devait sans cesse repousser les tentatives de plus en plus insistantes du jeune homme, aussi beau et séduisant qu’il soit. Et puis, de toute façon, elle ne mentait pas. Ce n’était pas dans ses capacités. La jolie rousse avait eu un été bien rempli, et pas du fait d’Angel. C’était une bonne chose, elle n’avait pas à prétendre avoir pensé à lui alors que ce n’était pas le cas. Inutile de le pousser à continuer dans ces considérations et ses espérances plutôt illusoires.
Mais cependant, il lui fallait détourner la conversation, pour être sûre. Avant de venir la rejoindre, il lui avait offert une opportunité rêvée. Jaugeant la demoiselle qu’Angel avait cessé de courtiser pour venir la rejoindre, elle lâcha, d’un ton détaché mais amusé :

« Tu commences la chasse tôt, cette année, à ce que je vois. »

Elle fit un mouvement de tête vers la jolie blonde, toujours sur son banc à plusieurs mètres d’eux, qui avait l’air absolument désespérée de se voir abandonnée si vite par un potentiel petit ami. Après tout, elle avait vite appris que c’était l’effet qu’Angel faisait aux autres femmes et qu’il ne fallait plus s’en étonner. L’avantage, lorsqu’on ne venait pas exactement du même monde que les autres, c’était qu’on apprenait vite des règles imparables, sans les remettre en question. On n’avait pas le problème des diverses mœurs, et autres. On s’adaptait.


Revenir en haut Aller en bas
 

& tu finiras par m'appartenir. || Eden & Angel.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Virtual Hogwarts :: Poudlard :: Terres de l'Ecole :: Parc-
Sauter vers: